L’homme est en contact permanent avec des milliards et des milliards de germes de toutes origines (bactéries, microbes, virus, …), et en possèdent également une énorme quantité à l’intérieur de lui-même, rien que nos intestins, à eux seuls, contiennent environ 100.000 milliards de bactéries, microbes, virus, parasites et autres champignons , …, qui constituent notre microbiote (flore) intestinale.

S’il n’en est pas affecté habituellement, c’est-à-dire dans des conditions normales d’existence et de santé, c’est tout simplement parce qu’entre l’humain et eux, il n’y a pas syntonisation ou phénomène de résonance è la radio-vitalité de l’homme (qui se mesure en Angström) étant plus élevé que celle des microbes nocifs.

Aucun germe microbien n’est pathogène en soi. Son but n’est pas de susciter une maladie mais de se nourrir. C’est une machine à vivre, qui ne se nourrit que d’aliments dont la radio-vitalité est identique à la sienne. Un homme radio-dévitalisé, avec une fréquence vibratoire faible, devient donc, de ce fait même, une proie (une nourriture) facile pour ce germe, qui a la même fréquence vibratoire que la sienne.

Le germe n’est jamais la cause, mais seulement la conséquence des maladies, dites infectieuses, auxquelles il ajoute, assurément, ses propres toxines (excrétats) qui aggravent la morbidité originelle du malade et contre lesquelles il peut être indispensable de lutter à l’aide, entre autres mais pas seulement, de techniques de soins énergétiques bien conduites, pour éviter, par leur prolifération, qu’elles ne lèsent un organe essentiel (comme les reins ou le système nerveux, par exemple) ou ne mettent en péril la santé voire la vie du patient. Ce qui n’écarte en aucun cas, bien sûr, le rôle du médecin.

Notre rôle, en tant qu’énergéticien, est donc important face à une maladie, car en donnant nos énergies au malade, nous élevons sa radio-vitalité et par conséquent, nous rompons la syntonisation que ce dernier a avec la fréquence vibratoire et la longueur d’onde de sa « maladie ».

Dès que la radio-vitalité du souffrant remonte, le germe en cause ne peut plus se nourrir, donc se développer et il meurt. Il y a rémission mais qui ne peut devenir définitive que si la personne entretient une radio-vitalité suffisamment élevée grâce à une hygiène alimentaire revitalisante, biologique (vivante) si possible et à une hygiène de vie vitalo-protectrice (respiration correcte, exercices corporels et énergétiques, pensées, émotions, paroles et actions positives, …). 

Sans cela, notre intervention ne pourrait être que temporaire quant à ses résultats et il pourrait s’ensuivre une récidive dès que la radio-vitalité du patient redescendrait et atteindrait à nouveau le seuil critique, optimal, permettant au germe, un temps neutralisé, de se nourrir à nouveau et, donc, de se développer.

Pour enfoncer le clou une fois de plus (la répétition, n’est-elle pas la Mère de l’enseignement !), la contagion ne peut donc naître que si un microbe extérieur, provenant d’une source contaminée, entre en contact avec un organisme en état de réceptivité, c’est-à-dire ayant une radio-vitalité capable de nourrir ce germe, par conséquent se trouvant obligatoirement sur sa même longueur d’onde, donc en état de radio-dévitalité spécifique à ce microbe.

Contrairement à ce que l’on pourrait croire les énergies données au patient ne « tuent » pas le microbe. Elles n’agissent pas, non plus, comme un antiseptique ou un antibiotique, mais comme un composé de forces électromagnétiques qui modifie la fréquence et l’ondulation des cellules de l’organe ou de l’organisme atteint.

En élevant cette radio-vitalité, on prive le microbe de sa nourriture spécifique, en rapport avec sa propre fréquence, et il finit par se désagréger.

Mais attention, ne vous y trompez pas, encore une fois, les traitements médicaux sont vraiment utiles et indispensables, comme déjà dit plus haut, dans les cas graves, les douleurs insupportables ou un envahissement microbien catastrophique, par exemple, il convient, donc, d’agir au plus vite, au moyen de la pharmacopée allopathique classique (antiseptiques ou autres antibiotiques, …) que seul un médecin est apte à donner, afin d’enrayer la multiplication et le processus dévastateur des microbes ou des virus. Mais même après avoir obtenu la guérison médicale, il est nécessaire de prendre conscience qu’il peut y avoir récidive, si le terrain n’est pas entretenu à un seuil de radio-vitalité supérieur à celui du microbe combattu et c’est là que nous intervenons avec nos soins énergétiques, par exemple pendant la période de convalescence ou juste après, pour « remonter » le patient, en conjugaison, si nécessaire, avec d’autres techniques.

Alors, est-ce que vous pensez que ce que je viens de vous expliquer, dans ce chapitre, sont des élucubrations d’un « illuminé » voire d’un fou complètement inconscient ou ces explications relèvent-elle d’une once de bon sens et de logique, à partir d’un point de vue différent, celui de l’énergie et de la vibration ?

J’ai souvent l’habitude de dire sur la « Vérité » d’une chose : « Que tout le monde a raison mais seulement de son point de vue ». Je vous laisse, donc, libre de vous faire votre propre opinion et d’accepter tout cela ou non.

Dans nos civilisations occidentales, on attend souvent d’être malade pour se faire soigner, alors qu’il est quand même plus logique voire intelligent de faire en sorte d’éviter de tomber malade et de faire, donc, de la prévention comme le dit si bien ce proverbe issu de la sagesse populaire et bien connu : «  Mieux vaut prévenir que guérir ».

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