Depuis Pasteur, on présente le microbe comme un élément indépendant, extérieur, vivant un peu partout, qu’on peut attraper par malchance et subir son funeste dessein, ayant pour mission de nuire et de détruire.

Or comment se fait-il qu’en milieu aseptisé, un animal en état de dévitalisation par une alimentation stérilisée (donc non vibrante) finisse par contracter une maladie microbienne ? C’est donc bien le terrain qui favorise la maladie.

Que se passe-t-il à la mort d’un malade atteint d’une maladie infectieuse ? Les microbes ne trouvant plus de défense devraient pulluler dans tout l’organisme, et par suite, dans la terre qui entoure le corps, puis dans les végétaux, dans l’eau et dans l’air. Or rien de tout cela ne se passe, les cimetières, les fosses remplis lors de grandes épidémies de la peste, du choléra ou autre, n’ont jamais contaminé personne.

Pourquoi ? Parce que les microbes « responsables » disparaissent complètement pour laisser place à d’autres éléments, ceux de la putréfaction qui ne viennent pas de l’extérieur, mais qui se produisent d’eux-mêmes dans un milieu qui a changé de vibration.

Ces microbes se créent par autogénèse suite au changement de la radio-vitalité générale du corps du défunt.

Les microbes de la maladie disparaissent parce que sa radio-vitalité est en-dessous du seuil où ils ne peuvent plus vivre. La nouvelle radio-vitalité permet alors la création de nouveaux microbes. Ce qui montre bien que le terrain organique crée donc les microbes.

Nos cellules en état de morbidité (diminution de leur radio-vitalité), se désagrègent et libèrent des atomes qui cherchent à s’organiser pour vivre dans cette nouvelle vibration électromagnétique. Ces atomes y trouvent leur alimentation électronique et s’associent dans une nouvelle organisation biologique appelée « microbe » (ensemble d’atomes spécifiques vibrant à une fréquence donnée).

Tant que cette morbidité persiste, ce microbe se développe, soit localement, si une zone seulement de l’organisme est synchrone avec lui, soit généralement, si tout l’organisme est synchronisé avec lui ou le devient progressivement.

Si l’organisme se défend vigoureusement (crise aigüe), soit de lui-même ou par un apport extérieur (énergie/magnétisme d’un thérapeute, homéopathie, aromathérapie, phytothérapie, élixirs floraux, alimentation équilibrée et riche en nutriments, hygiène physique, énergétique et psychologique, …), la radio-vitalité de l’organe atteint s’élève, le microbe est neutralisé, privé de son aliment vibratoire et disparaît.

Si l’organisme se défend mal, par suite d’une radio-dévitalisation, un état morbide s’installe ainsi que la « maladie » qu’il s’est créé, qu’il entretient et développe parfois à une vitesse telle que l’affaiblissement foudroyant, par perte brutale de sa radio-vitalité, entraîne la mort.

Est-ce que ce que je vous dis vous semble toujours cohérent ?

Pasteur, lui-même à la fin de sa vie réfuta sa 1ère théorie microbienne et sur son lit de mort, il aurait dit : « Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout ».

Malheureusement cette voie n’a pas été suivie. Dans une maladie, on voit un microbe, donc c’est lui le responsable …lui seul doit être combattu… Personne ne songe, au fait, qu’il n’est qu’un effet, une conséquence d’une baisse de la fréquence vibratoire de la personne correspondant, comme dit plus haut, à la vibration même où ce microbe peut se déployer dans toute sa puissance.

Cela arrange tout le monde- on n’est absolument pas responsable de sa maladie – on ne peut l’éviter, on l’attrape (on est « victime » des circonstances et non pas co-responsable de ce qui nous arrive). C’est tellement plus commode que de faire un effort pour entretenir un taux optimal de vitalité.

C’est en se basant sur cette croyance que les industries chimiques et donc pharmaceutiques avec leur cohorte de médicaments ont pris leur essor. Loin de moi, l’idée de faire un procès, à tout va, aux industries pharmaceutiques mais de simplement alerter sur l’usage souvent abusif et intensif de médicaments allopathiques qui est parfois disproportionné et inadapté à certains maux de personnes venant consulter des médecins, avec tout leur lot d’effets secondaires, que l’on finit par trouver « normal » : « Il faut bien se soigner, non ? » ou « sinon on ne fait plus rien, on ne sait plus vers qui se tourner ? ».

Personne, actuellement, ne nie la toxicité de cette chimie, néanmoins elle est vraiment indispensable et nécessaire dans les grosses pathologies ou les cas d’urgence, ce qui est une évidence, mais pas dans les cas bénins où d’autres thérapies peuvent faire merveille…

Je ne dis absolument pas que les thérapies « naturelles » doivent remplacer la médecine allopathique, ce qui serait une erreur monumentale, mais plutôt travailler main dans la main, en complémentarité avec ces disciplines pour le plus grand bien des patients, ce qui arrive encore trop peu de nos jours, mais il y a un progrès certain, avec des médecins courageux qui osent y faire appel, plus soucieux de la santé de leurs patients qu’autre chose.

Pour revenir à notre propos, la toxicité de ces médicaments affaiblit souvent le terrain en lutte contre ces agents pathogènes, abaissant encore la vitalité du malade et préparant ainsi d’autres états morbides. Par la radioactivité de leurs atomes, nos organes émettent des ondes, donc un champ électromagnétique. Ce qui nous permet d’entendre, de voir, de toucher, de sentir, d’obtenir un tracé électro-encéphalographique ou un électrocardiogramme.

Suite et fin dans la troisième partie, début août 2022!

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